Réseaux sociaux

Une marche de plus ... !

Connaissez-vous la maladie des marins ou des corsaires ? Avant, mercredi de cette semaine, je n’avais jamais eu l’occasion de rencontrer des personnes atteintes de ce type de pathologie.

Appelé également Scorbut, c’est une maladie due à une carence en vitamine C (acide ascorbique) qui se traduit chez l'être humain, dans sa forme grave, par un déchaussement des dents et la purulence des gencives, des hémorragies, puis la mort.

En traitement dans un cabinet au Luxembourg, cette française originaire de Nancy, a depuis des années une forte carence en vitamine C qu’elle n’arrive malheureusement pas à stabiliser malgré un Baxter par semaine d’acide ascorbique fortement dosé. Sans explication claire sur cette perte de Vitamine C, les médecins lui ont finalement conseillé de tenter l’expérience de la Biorésonance…

Il est 15h… Lorsque cette femme se présente à mon cabinet, le teint pâle et sans force. Lorsque je lui explique que l’accès à mon cabinet de Mersch nécessite la montée de 6 marches. Elle me dit « Je crois que cela ne va pas être possible… Je suis dans l’incapacité de monter plus d’une marche… ». Mais l’espoir d’une amélioration, et sa volonté de surmonter sa maladie, ont eu raison de ces 6 marches. Accrochée avec ses 2 mains à la rampes, à la force des bras et avec l’aide son fils, elle a finalement réussi avec beaucoup de mal et de temps à atteindre mon bureau.

Nous démarrons la Biorésonance avec cet incroyable outil qu’est le Metatron Hospital. Mon appareil décèle un ensemble de soucis, tant sur le plan émotionnel que pathologique. Mais le Metatron met surtout en évidence la thyroïde et une intoxication possible au mercure ce que ma patiente me confirme à postériori. Je décide donc, de concentrer la thérapie quantique sur le problème du mercure…

Après une heure, de traitement, notre séance s’achève… mais il fallait à nouveau franchir ces six marches… Je précède ma cliente dans les escaliers, qui finalement à réussi à descendre les marches sans même se tenir…

Arrivée au rez-de-chaussée, je lui dit :

« Vous voyez vous allez mieux, vous êtes descendue sans même vous tenir à la rampes. »

Elle me répond :

« descendre çà va toujours, c’est monter qui pose problème… ! »

Je lui dit :

« Eh bien, remonter les ! »

La femme s’exécute sur le champs et la ô surprise pour elle et son fils qui l’avait accompagnée et conduite jusqu’à Mersch. Elle est montée sans même se tenir, le pas léger ! mais les yeux exorbitées sur ce qu’elle venait de réaliser sans la moindre difficulté !

 

 

 

 

 

 

 

 

Go to top