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Le long voyage de la gratitude
À 84 ans, il parcourt plus de 1 100 km avec sa voiture pour sa révision annuelle de Biorésonance

Un homme de 84 ans, originaire du Tarn-et-Garonne, a parcouru plus de 1 100 kilomètres pour me consulter, comme il le fait depuis de nombreuses années. Cette rencontre est aussi pour lui l’occasion de me manifester sa reconnaissance avec respect et chaleur.

Nous nous connaissons depuis 2014, et notre rendez-vous a été l’occasion d’évoquer de vieux souvenirs.

Il me dit :

« Vous vous souvenez, en 2014, je suis venu vous voir : j’avais l’épaule droite complètement bloquée et une opération était déjà programmée. Vous m’aviez conseillé de consulter un dentiste pour une molaire en bas à droite, en ajoutant : “Il va sans doute rire, mais lorsqu’il fera une radio, il vous dira qu’il faut extraire cette dent en urgence. Quand ce sera fait, donnez-moi de vos nouvelles.”

J’ai suivi vos recommandations à la lettre, et tout s’est passé exactement comme vous l’aviez prévu : la dent a été arrachée, et dès le lendemain je repeignais un plafond sans la moindre douleur !

Encore aujourd’hui, le dentiste me demande de vos nouvelles… Vous imaginez, à l’époque, il avait ri de vos préconisations ! »

Puis il poursuit :

« En 2020, c’était mes genoux et mes jambes. Deux prothèses de genou étaient prévues. Vous m’avez dit : “On peut toujours changer les genoux, mais essayons d’abord la Biorésonance pour voir si cela peut retarder l’opération. Si cela ne suffit pas, alors il faudra l’envisager.”

Nous sommes en 2025 : j’ai toujours mes genoux d’origine, je ne souffre plus du tout et je travaille chaque jour sur ma propriété de 50 ares — entre le gazon et les feuilles, il y a de quoi faire !

Le chirurgien, ami de mon fils, n’en revient pas : à chaque rencontre, il lui demande des nouvelles de mes genoux. Et mon fils lui répond toujours : “Impeccable !” Le chirurgien secoue la tête et avoue : “Je ne comprends pas…” »

Enfin, il conclut :

« En 2022, c’était “l’affaire du Parkinson”. Je ne tenais plus sur mes jambes, j’étais en fauteuil roulant. Le neurologue avait dit à mon épouse que la piste du Parkinson était la plus probable.

Désespérée, elle vous a appelé. Vous lui avez alors dit : “Avant tout, prenez rendez-vous chez un ostéopathe local. Faites venir une ambulance et emmenez votre mari chez lui. Demandez-lui de vérifier la vertèbre C5.”

L’ambulance m’a conduit chez l’ostéopathe, je lui ai répété vos mots. Trois minutes sur la table, et tout était réglé ! Depuis, je n’ai plus aucun problème. Le neurologue que j’ai revu ensuite n’en croyait pas ses yeux — mais c’est pourtant la vérité ! »

Et de conclure avec un sourire :

« Tant que je pourrai venir voir mes enfants à Luxembourg, je passerai vous rendre visite pour une révision. Après tout, c’est comme pour ma voiture : elle a 240 000 km, elle est impeccable, mais je veille toujours à faire mes entretiens sérieusement.

Pour tout ce que vous avez fait pour moi, je vous renouvelle mes remerciements les plus sincères et respectueux. »

À travers ce témoignage, on comprend que la santé n’est pas qu’une question de science, mais aussi de lien, d’écoute et de confiance. Il suffit parfois d’un regard, d’une parole, d’un geste pour changer une existence. Et quand un homme de 84 ans fait 1 100 kilomètres pour dire “merci”, c’est toute l’humanité qui se souvient de ce que veut dire prendre soin.

Quantiquement vôtre,
Eric ESCH
Thérapeute en Biorésonance
Biorésonance Center Mersch